tag:blogger.com,1999:blog-68817701945603557132024-03-06T00:38:42.747+01:00Position critiqueAurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.comBlogger25125tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-53716920521262303192014-11-16T00:13:00.002+01:002014-11-16T12:08:33.124+01:00 Mommy (Xavier Dolan, 2014)
Ce n'est pas le meilleur film de Xavier Dolan, mais c'est visiblement celui par lequel il va se faire connaitre d'un public plus large, ce qu'il mérite, et reconnaitre de la critique dans son ensemble, ce qui est à double tranchant. Dolan semble de fait moins encensé pour les qualités intrinsèques de "Mommy", pas aussi bon selon moi que "Tom à la ferme" sorti l'année dernière, que parce Aurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-14748850558403973092014-04-29T12:39:00.003+02:002014-04-29T12:47:40.727+02:00States of Grace (Destin Cretton, 2014)<!--[if gte mso 9]>
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Pourtant largement salué par la critique, on dirait que
« States of Grace », film prétendument « social », a été
réalisé par de jeunes bobos privilégiés qui ne connaissent de leur Aurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-2822197981952959902013-07-30T22:39:00.000+02:002013-07-30T22:43:13.958+02:00Dark skies (Scott Charles Stewart, 2013)<!--[if gte mso 9]>
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« Dark skies » se sert astucieusement d’une
inclusion du surnaturel dans le quotidien d’un foyer états-unien typique, très
cadré, pour faire ressortir les doutes et les peurs qui se dissimulentAurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-11231371913940397632013-07-28T13:35:00.002+02:002013-07-28T14:35:05.782+02:00La cabane dans les bois (Drew Goddard, 2012)<!--[if gte mso 9]>
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Film astucieux se jouant très habilement des codes des films
d’horreur« La cabane dans les bois » réussit l’exploit de confronter de multiples mises en abyme
sans jamais perdre le Aurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-63326551762413800022013-05-29T12:04:00.000+02:002013-05-29T22:07:54.625+02:00La grande braderie des codes de la gauche
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Issue de la période révolutionnaire française*, cette
opposition historique d’une droite « conservatrice », dans le
consensus avec le pouvoir, opposée à une gauche « réformatrice&Aurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-19144455218391248792013-02-04T13:42:00.001+01:002013-02-04T13:48:16.538+01:00La vie est un long fleuve tranquille (Etienne Chatiliez, 1988)<!--[if gte mso 9]>
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Comédie sociale culte des années 80, « la vie est un
long fleuve tranquille » confronte joyeusement les clichés inhérents aux
classes bourgeoises et défavorisées du nord de la France. En Aurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-18986427200784204292013-02-02T14:16:00.002+01:002013-05-29T14:33:44.131+02:00Tourisme : quand la réalité s'échappe
 Fredhttp://www.blogger.com/profile/16283175454061936527noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-36261559616685613712013-02-02T12:53:00.003+01:002013-02-04T13:46:36.694+01:00Le tourisme : reproduire du même chez l’autre ?<!--[if gte mso 9]>
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Inventé dés le départ par et pour la couche la plus aisée de
la population européenne (l’aristocratie britannique qui partait faire le
« tour » de l’Europe ), le tourisme est de création Aurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-81551224366546875992012-01-10T13:49:00.000+01:002013-07-31T18:30:04.736+02:00Scott Pilgrim (Edgar Wright, 2010)
Le plus mauvais film qu'il m'ait été donné de voir depuis
bien longtemps! Impossible de rester jusqu'au bout, même pour faire plaisir à
un ami... Après son excellent "Shaun of the dead" et son sympathique
"Hot fuzz" (quand même un cran en dessous du premier), Edgar Wright
s'est inexplicablement compromis dans un exercice de style raté, aussi vide
qu'inattractif, voire douteux.
Aurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-85225108452214983452011-09-12T16:22:00.007+02:002011-09-12T16:37:45.056+02:00Melancholia (Lars Von Trier, 2011)
Ni un chef-d’oeuvre, ni un navet. Juste un film pas mal de Lars Von Trier avec les qualités et les défauts qu’on lui connaît. Indéniablement plus fin qu’« Antichrist », le réalisateur parvient à mettre le doigt sur des aspects intéressants de la psyché humaine, notamment dans ses rapports à l’altérité et à la mort, sans tout à fait parvenir à faire oublier quelques longueurs et Aurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-56237593485540477682011-08-15T01:17:00.004+02:002011-08-15T11:00:31.344+02:00All about Eve (Joseph L. Mankiewicz, 1950)
Analyse très fine des rapports humains au sein d’une microsociété fermée, sélective et codifiée entre toutes (le monde du théâtre new-yorkais), « All about Eve » est une réflexion sur l’ambition, la manipulation, l’égocentrisme et, en dernier ressort, sur les fondements de l’amour entre êtres humains au sens le plus général, l’acceptation de soi et des autres.
Mankiewicz Aurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-19749879492214546352011-08-03T22:48:00.004+02:002011-08-03T23:02:47.060+02:00Balada triste de trompeta (Alex de la Iglesia, 2011)
Alex de la Iglesia ne sait notoirement pas terminer ses films. Au moins a-t-il réussi, avec Balada triste, à en amorcer un avec brio et à nous tenir en haleine pendant presque les deux tiers du film. Original dans l’approche du scénario et les thèmes abordés et inventif jusqu’à l’iconoclastie (et le mauvais goût assumé), il laisse à voir dans cette première partie un indéniable talent de mise enAurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-823815055777605992011-07-10T13:23:00.005+02:002011-07-10T23:04:41.084+02:00Soudain l’été dernier (Joseph L. Mankiewicz, 1960)
Film inquiétant, troublant, sous des dehors (au départ) faussement classiques. Traitant avec une terrible pénétration, et une grande originalité, le thème de la vulnérabilité en prise avec le pouvoir, l’emprise, la prédation, la voracité dans les rapports humains; la volonté d’anéantir l’autre et de le « consommer, » pour asseoir sa domination et le « contrôler » de la Aurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-77607997990857596532011-04-05T01:38:00.002+02:002011-04-05T10:47:22.348+02:00Frissons (David Cronenberg, 1975)
Premier film de Cronenberg à rencontrer le succès, « Frissons » reste assurément l’un des meilleurs du réalisateur. La plupart de ses thèmes de prédilection sont déjà là, condensés : Mutations corporelles, contagion, retour à l’animalité, sexualité « contre-nature »…S’il est moins abouti structurellement et formellement qu’un « Videodrome » ou un « Aurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-57725626327126127282011-04-04T16:40:00.002+02:002011-04-04T17:43:07.167+02:00Black Christmas (Bob Clark, 1974)
Il serait faux et réducteur de ne voir en « Black Christmas » que « l’acte de naissance » du genre « Slasher » (élimination progressive d’un groupe d’individus par un tueur dont l’identité est généralement inconnue). À la fois car le genre en question à déjà de solides précurseurs dans le cinéma italien (Bava et Argento en tête), et que le film de Bob Clark, Aurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-7859053553346080552011-03-04T11:01:00.003+01:002011-03-05T02:47:09.496+01:00True Grit (Joel et Ethan Coen, 2011)
Simple et efficace, cette incursion dans le domaine du western obéit à la fois aux règles classiques du genre (morceaux de bravoures et clichés utilisés à bon escient) et à un certain naturalisme, plus proche de la réalité historique du quotidien des pionniers, alimentant un humour issu du décalage.
« True Grit » se pose ainsi en héritier d’un genre, le western américain post-spaghettiAurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-15324134025614040962011-02-25T03:08:00.007+01:002011-03-05T02:48:45.639+01:00Black Swan (Darren Aronofsky, 2011)
Sujet sans surprise, introduit dès le départ, du double maléfique qui pourchasse l’héroïne au travers de multiples faux-semblants / jeux de miroirs (on pense d’emblée à « Perfect Blue »). On en attend le final sans suspens : la mise à mort qui seule permet d’échapper à ce cauchemar schizophrène et d’accéder au repos.
Le film parvient néanmoins à se montrer saisissant dans l’exposé, très éloquentAurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-14449575299627841332010-01-17T21:08:00.013+01:002011-02-25T11:33:41.865+01:00Apocalypse now (Francis Ford Coppola, 1979)
En transposant le roman de Joseph Conrad Au cœur des ténèbres au contexte de la guerre du Vietnam, Coppola aborde celle-ci sous une perspective résolument inédite : Non plus seulement celle du drame humain (individuel) ou social (à l’échelle d’une communauté, d’une nation) mais en tant que champ d’interrogation sur l’existence et la nature humaine.Film crépusculaire et envoûtant, Aurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-73007425176196545212010-01-12T18:32:00.009+01:002010-01-17T22:24:59.367+01:00Inglorious basterds (Quentin Tarantino, 2009)
Un petit mot du dernier Tarantino qui, s’il est loin d’être parfait (comparé à certain de ses autres films), ne laisse pas indifférent.
Tenant à la fois du western, du « nazi exploitation »* et du film d’espionnage à suspense, Inglorious mélange les clichés baroques des films de genre, les scènes de pure violence réaliste et les huis clos très dialogués. On y côtoie des Aurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-66712842371921218762009-12-21T15:52:00.008+01:002009-12-22T16:12:04.259+01:00Les biscuits DinosaurusCe matin, en contemplant le biscuit Dinosaurus que je m’apprêtais à ingurgiter, quelques questions délétères mais stimulantes sont montées à mon cerveau, particulièrement éveillé en ce petit déjeuner.
D’abord, pourquoi les dinosaures font-ils tellement triper les gamins ? Et pourquoi c’est si jouissif de les gloutonner sous la forme de biscuit même quand on est (à peu près) adulte ?
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-57052868742356547382009-12-15T13:20:00.007+01:002011-07-16T22:50:31.559+02:00When a stranger calls (Fred Walton, 1979)
Après le gros classique, retour aux petits-films-qui-gagnent-à-être-connus. Exhumée du rayon tout à 2 euros d’une boutique de dvds d’occaz, entre « BMX warriors » (avec Nicole Kidman !) et une demi-douzaine d’exemplaires de « Mission to Mars », une petite perle qui aborde le genre (film d’horreur) sous un angle à la fois original et d’une grande efficacité dans ses Aurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-32330805358426395532009-12-13T13:07:00.004+01:002009-12-13T16:27:08.977+01:002001, l’Odyssée de l’espace (Stanley Kubrick, 1968)
J’ai décidé de me confronter à un classique, et non des moindres : Le plus métaphysique des films de Kubrick, et sans aucun doute l’un des plus brillants. C’est d’ailleurs tout le problème de faire l’analyse d’un film considéré comme un chef d’œuvre : on subit la pression accumulée de tout ce qui a déja écrit, associée à la crainte de ne rien dire de nouveau en définitive. Je meAurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-85912132687085272622009-12-08T14:16:00.024+01:002011-07-16T23:01:41.327+02:00Captain Britain, Héros Tragique ou dindon de la farce ?
Un petit mot de l’album d’Alan Moore et Brian Bolland ressorti il y a 1 ou 2 ans en version française. Une Bd qui surprend, interroge et, finalement, se révèle assez jouissive dans son genre.
Quand on connaît effectivement la qualité des œuvres scénarisées par Moore (V pour Vendetta, Watchmen, La ligue des gentlemans extraordinaires…), on ne peut s’empêcher d’être interloqué, dans un premier Aurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-8400262693140596332009-12-07T20:23:00.014+01:002009-12-10T20:04:35.547+01:00Teeth, le nanard qui n'en était pas un (Mitchell Lichtenstein, 2008)
Pour mon premier article ciné sur ce blog j’ai choisi d’évoquer un de ces films-ovni généralement mal critiqués par Télérama (dont la rédaction semble décidément très réfractaire aux films de genre), mais qui ravissent d’autant plus qu’on ne s’attendait absolument pas à les aimer.
Le synopsis (une adolescente se découvre un vagin denté, arme redoutable contre d’éventuels agresseurs) et plus Aurélienhttp://www.blogger.com/profile/17135021855359808324noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6881770194560355713.post-42776843849534137492009-08-28T01:42:00.005+02:002009-12-10T19:50:50.805+01:00Considérations autour de "Dark Water"de Hideo Nakata
Je viens de voir Dark Water, et c'était mieux que ce à quoi je m'attendais, à savoir un sous Ring!
Et Ring m'avait déjà pas tant emballé que ça... Je trouvais ça un peu trop ado le coup de la rumeur autour d'une vidéo bizarre, et ethnocentré avec ses fantômes pur-sang japonais pour que ça m'atteigne vraiment. On m'avait tellement dit que j'aurai peur, que juste après l'avoir vu, Unknownnoreply@blogger.com0